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Interview de Carlos Gomes (Responsable PSA amérique latine)


Carlos Gomes est enthousiasmé par le marché automobile argentin, qui, dit-il, est de plus en plus clairement. De son poste de président pour l'Amérique latine et membre du Comité exécutif du groupe PSA (Peugeot et Citroën), est aussi excité par la nouvelle plate-forme à installer dans le pays et dont les différents modèles seront produits; fiducies qui mettent carrément sur le marché des véhicules utilitaires et prévoit que la société fabriquera un pick-up. Au-delà de ces définitions, il a sa propre vision sur l'économie locale. « Je pense que l'Argentine se prépare à être compétitif », dit-il.

Comment vont les affaires pour PSA en Argentine?

-La entreprise est bonne. Nos perspectives sont bonnes parce que nous avions une très bonne 2016, soit une augmentation de 34% par rapport à 2015, et cette année a augmenté de près de 20%. Ici, le marché est de plus en plus et je ne me attendais pas une telle croissance, un an avec un peu plus de 800 000 unités. Maintenant, le marché semble bon en quantité mais pas en qualité.

-Pourquoi?

Parce qu'il ya une capacité de réserve très importante au Brésil, ce qui oblige de nombreux fabricants ont pas prévu cet automne si brusquement, de trouver des moyens de production de sortie. Cela se traduit par un niveau de réductions au-delà de ce que nous avons été en faisant observer les cinq dernières années marché argentin, et la rentabilité par voiture sera un peu plus faible. À savoir, le Brésil place les voitures ne peuvent pas placer sur votre marché et qui abaisse les prix ici.Quelle influence la réglementation transporta des entreprises par le gouvernement, comme la sortie des stocks ou ouvrir la possibilité de transformer des dividendes?
Comme tout dans la vie, l'image globale d'une entreprise passe par des critères de confiance. Il y avait là deux ans une série de mesures, y compris l'élimination des taxes à l'exportation, il supprime de la DJAI, l'accès au marché des changes, la loi des fournisseurs. De plus, le marché de l'automobile d'aujourd'hui est plus transparent, car il a une réelle demande.

-PSA va-t-il investir en Argentine?

-Après les investissements annoncés en Mars de cette année (le 5 Décembre dernier, nous avons informé le président Mauricio Macri). Il se compose d'un réajustement complet de notre usine à El Palomar, où nous avons changé des lignes et introduit de nouvelles technologies qui facilitent le travail des opérateurs. Au total, nous avons annoncé 300 millions US $ jusqu'en 2020. Cet investissement dans l'usine est la première étape pour l'arrivée d'une nouvelle plate-forme en 2019.

« Quels sont les nouveaux marchés d'exportation voient?

-Les marchés qui semblent potentiellement accessibles sont tous en Amérique latine et aussi l'Afrique du Nord (nous avons maintenant la confirmation que la vente de voitures du Brésil à Madagascar et Côte-d'Ivoire). Marché où nous pouvons aller.

Et est compétitive Argentine?

Aujourd'hui n'est pas compétitive, mais ce n'est pas une conclusion définitive. Je pense qu'il ya un modèle qui va à créer les conditions de compétitivité. La loi des pièces automobiles que de chemin, le plan Un million d'aller dans cette direction. Mais aujourd'hui, l'Argentine n'est pas compétitif. Je pense qu'il se prépare à être compétitif, et que nous devons soulever des questions sur les clients à l'exportation, les fournisseurs (pièces automobiles), la logistique et ainsi de suite.

Comment voyez-vous le plan Un million?

« Je pense un bâtiment en pierre construit. Je me demandais toujours ce qui devait être fait pour produire plus, et pour cela de ne pas parler aux producteurs parce que je produis si les conditions existent. Si la plante est compétitive, la production et l'usine est compétitive si l'environnement est bon. La loi de pièces automobiles est l'une des décisions les plus importantes à cet égard.

Quelles autres choses pourrait être bénéfique pour l'industrie?

Aujourd'hui, ils prennent des mesures structurelles (la loi de pièces d'automobiles et de planifier un million), maintenant examiner les sujets fins: le coût de l'énergie, la logistique, la compétitivité du contexte du travail et de l'union. Inutile de dire que les conditions de travail en Argentine sont plus difficiles que dans d'autres marchés. Nous avons des marchés très volatils et nous oblige à la flexibilité, mais les lois locales ne nous permettent pas d'avoir cette flexibilité. C'est une question qui doit être abordée.

« Vous songez à des mises à pied?

-NO. Je parle de flexibilité. La loi sur les syndicats 1976 est alors pas d'heures de travail fixes mais ne peut pas, comme en France ou en Allemagne, être plus souple et rendre une personne un jour ont 8 heures, un autre jour, un autre jour 6 et 9. Je parle de polyvalence dans les postes, ce qui est Plater peut faire l'assemblage.

Comment l'inflation frappe les et comment le gérer?

-La inflation vient et a déjà donné deux traitements: un côté d'entrée et un autre côté de la vente. Côté de la vente est le marché qui réglemente (ne peut pas augmenter de 50% si d'autres augmentent 0). Du côté des coûts, oui, il nous frappe, parce qu'il est commune et nous travaillons augmente; Nous élevons également les fournisseurs de prix.

Comment évaluez-vous la charge fiscale?

-La charge fiscale sur le secteur automobile en Argentine est un des plus élevés (54,8%). Chaque pays définit sa structure, mais si nous voulons exporter doit simplifier la question fiscale.

Depuis combien de temps nous frappe quand le Brésil et soulèvera le marché?

« Nous avons touché beaucoup, parce que le marché brésilien était de 3,6 millions d'unités et aujourd'hui est une autre. L'évolution de ce marché est essentiel pour définir le niveau de production en Argentine. Je pense que cette année, le marché brésilien sera légèrement plus élevé que l'an dernier, mais pour revenir à 2012 niveaux, il faut attendre 2028.

Y at-il un nouveau modèle qui sera produit en Argentine?

-Tous notre nouvelle plate-forme produira de nouveaux modèles. Mais nous avons divisé, d'abord annoncé le plan après la plate-forme et la voiture. Nous prévoyons que nous allons vers un véhicule utilitaire offensive (présentée au Salon automobile de la nouvelle Peugeot Expert et Citroën saut d'obstacles). Nous avons un plan stratégique pour entrer sur le marché des véhicules commerciaux, et a eu un certain succès avec le Berlingo et Partner, segment de van de gars. Année de passer la grande camionnette avec Boxer et saut d'obstacles. De plus, nous avons annoncé que d'ici à 2021 aura un pick-up (ne sait pas encore si elle sera construite en Argentine), mais ce serait après cette offensive des wagons couverts.

Commentaires

  1. Merci Jeremy.
    Carlos Gomes c'est toujours détaillé et sans auto-satisfaction. Il y a du boulot, il le sait et il a déjà fait faire à PSA un chemin remarqué.

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  2. Merci Thierry, Carlos Gomes est effectivement quelqu'un de très talentueux qui, je crois, est destiné à un grand avenir chez PSA

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