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Essai du Citroën C4 Picasso 1.2 PureTech 130ch

Lancée en 2013, et après avoir séduit plus de 300 000 clients, la seconde génération du monospace emblématique de la marque aux chevrons a vu ses traits s’affiner en 2016, lors de son restyling. Non content d’adopter une calandre plus moderne et commune avec la version 7 places, en plus de nouvelles aides à la conduite, le nouveau C4 Picasso s’est vu doter d’une nouvelle motorisation : le 1.2l PureTech de 130 ch. Si celui-ci constitue un choix indiscutable sur un Peugeot 2008), petite cylindrée et monospace font-ils bon ménage ? 





Avec un dessin détonnant, enterrant définitivement la première génération, le C4 Picasso aura su marquer de son empreinte le renouveau du design Citroën avec une récente mise à jour allant dans ce sens.
De ce fait, lorsque l’on s’approche du monospace, le style ne laisse pas indifférent et amène le regard à se promener le longs de ses lignes. Entre une face avant avec ses feux à double étage ou encore cet immense crochet venant surligner le vitrage latéral, le C4 Picasso reste aisément identifiable. Qui plus est en version milieu de gamme de notre modèle d’essai – baptisée Feel – où la face arrière reste elle aussi reconnaissable bien que dépourvue des feux 3D à LED.

Dans cette livrée bi-ton, mêlant la teinte nacrée rouge Rubi avec le toit noir, le design du monospace détonne encore plus, avec une accentuation de chaque partie latérale.

Avec un gabarit compact – et surtout basé sur la plate-forme EMP2 identique à celle des Peugeot 308 et 3008 – le C4 Picasso reste dans des proportions raisonnables avec une longueur de 4,44 m de long.
Non content d’avoir su bousculer voire renouveler les codes stylistiques d’un segment en perte de vitesse, la marque aux chevrons n’a pas lésiné sur l’intérieur, offrant une expérience à la hauteur des notions d’espace et de clarté.
Car impossible de ne pas y penser lorsque l’on prend place à bord, avec l’immense pare-brise panoramique ou encore les montants de pare-brise en deux parties réduisant le risque d’angle mort – encore rare dans la catégorie hormis sur le nouveau Scénic.

En adéquation avec le style extérieur, la planche de bord voit son dessin agrémenté de lignes fluides et au style creusé tandis que l’ambiance intérieure baptisée Dune, ajoutant alors une couleur beige des plus agréables et des sièges au design asymétrique en tissus gris clair et foncé, vient compléter le tout.

Pour plus de photos et le reste de l'article : 

Commentaires

  1. Sincèrement, essayez-là !
    C'est la meilleure version du C4 Picasso (plutôt Shine).

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