Transfert du blog

Bonjour à tous,

A compter d'aujourd'hui, le blog est fermé et remplacé par le site Passionnément Citroën.

Vous serez automatiquement redirigé vers le nouveau site.

Merci de votre compréhension

Peugeot est déjà prêt pour la future norme WLTP



Jean-Philippe Imparato, patron de la marque Peugeot, ne craint pas les nouvelles normes d'homologation qui seront en vigueur en septembre pour tous les modèles. Il revient également sur les enjeux des lancements des 508, 508 SW et Rifter.

"Le cycle WLTP n'est déjà plus un sujet pour Peugeot." Jean-Philippe Imparato, directeur général de la marque, ne craint visiblement pas les nouvelles normes d'homologations WLTP qui arriveront dès septembre sur tous les modèles. Les normes Euro6.c qui servent aujourd'hui d'ores et déjà de référence et de point de comparaison montrent en effet des émissions assez proches des anciennes normes.

"Les données doivent être mises à jour en permanence et nous devons diposer d'un rythme de connaissance suffisant pour que les vendeurs dans le réseau aient un maximum d'informations et puissent utiliser cette arme, poursuit le patron de la marque. Le réseau doit ainsi devenir bilingue WLTP avant de l'être sur l'électrique."

Pour Peugeot, il s'agit également d'un bon exercice de préparation pour l'objectif européen de 95g/km en 2020. "Nous respecterons l'objectif fixé par la Commission européenne. Il n'est pas question de payer un euro supplémentaire d'amende ou de taxe", ajoute Jean-Philippe Imparato.

En attendant cette date butoir, l'avenir proche de la marque et de son réseau tourne autour de trois lancements majeurs : la 508, la 508 SW et le Rifter, qui vont s'étaler de juin à novembre 2018. A ce titre, les commandes de la 508 First Edition, proposée depuis mars 2018 au salon de Genève, montrent une appétence de plus en plus importante pour la commande sur Internet. 900 véhicules ont ainsi été vendus, dont 400 à particulier avec un accompte de 500 euros versés sur Internet.

Une expérience qui visiblement sert de base de discussions aujourd'hui avec le réseau. Si les ventes sur Internet poursuivent leur progression, les contrats de distribution pourraient être revus avec des standards a maxima afin de réduire les frais de structure qui ne devraient pas dépasser 3 %.

Source : 

Commentaires