Le groupe mettra la technologie des véhicules électriques à la disposition d'Opel qui pourrait se spécialiser dans ce domaine. « A condition que ce soit rentable », insiste Carlos Tavares, patron de PSA.
Opel pourrait-il devenir un spécialiste du véhicule électrique? C'est une possibilité que n'écarte pas Carlos Tavares, président du directoire de PSA.
"Il faut que les véhicules électriques parviennent à trouver leur place sur le marché sans la moindre subvention, a-t-il ajouté. Si cela marche et que les entreprises peuvent être rentables, c‘est bien”, a poursuivi Carlos Tavares, dans Bild am Sonntag. “Mais si cela ne parvient pas à être accepté sur le marché, alors tout le monde - l‘industrie, les employés et les responsables politiques - a un gros problème.”
Jusqu'à présent, Opel bénéficiait de la technologie de General Motors d'abord pour proposer l'Ampera (un véhicule électrique avec prolongateur d'autonomie) puis à partir de la fin de 2017 et du début de 2018, l'Ampera e, une voiture tout électrique, qui continuera d'être commercialisé par Opel, bien que désormais dans le giron de PSA.
Officialisée en février 2016, l’Opel Ampera-e est la version européenne de la Chevrolet Bolt et propose jusqu’à 520 kilomètres d’autonomie en cycle NEDC. Elle disposera de batteries fournies par le groupe coréen LG (également fournisseur de PSA et de Renault).
Prié de dire si Opel serait rentable d‘ici trois ans, le nouveau directeur général de la marque allemande, Michael Lohscheller, interrogé par Bild am Sonntag en compagnie de Carlos Tavares, a répondu: “Opel doit être et sera rentable.”
Opel, en perte constante depuis 16 ans, a creusé ses pertes au deuxième trimestre, à environ 250 millions de dollars (210,8 millions d‘euros), a rapporté début septembre l‘hebdomadaire spécialisé Automobilwoche.
"PSA soutiendra les efforts d‘Opel pour développer des véhicules électriques à condition que ce choix soit rentable, a déclaré Carlos Tavares, président du directoire de PSA dans le magazine allemand Bild am Sonntag. “Nous, PSA, allons mettre cette technologie à la disposition d‘Opel pour aller plus loin dans l’électrification. Si Opel veut un jour devenir une marque entièrement électrique, cela nous convient, à condition que ce soit rentable”, a-t-il poursuivi".
"Il faut que les véhicules électriques parviennent à trouver leur place sur le marché sans la moindre subvention, a-t-il ajouté. Si cela marche et que les entreprises peuvent être rentables, c‘est bien”, a poursuivi Carlos Tavares, dans Bild am Sonntag. “Mais si cela ne parvient pas à être accepté sur le marché, alors tout le monde - l‘industrie, les employés et les responsables politiques - a un gros problème.”
L'Ampera e, héritage de General Motors
Jusqu'à présent, Opel bénéficiait de la technologie de General Motors d'abord pour proposer l'Ampera (un véhicule électrique avec prolongateur d'autonomie) puis à partir de la fin de 2017 et du début de 2018, l'Ampera e, une voiture tout électrique, qui continuera d'être commercialisé par Opel, bien que désormais dans le giron de PSA.
Officialisée en février 2016, l’Opel Ampera-e est la version européenne de la Chevrolet Bolt et propose jusqu’à 520 kilomètres d’autonomie en cycle NEDC. Elle disposera de batteries fournies par le groupe coréen LG (également fournisseur de PSA et de Renault).
Opel rentable dans trois ans
Prié de dire si Opel serait rentable d‘ici trois ans, le nouveau directeur général de la marque allemande, Michael Lohscheller, interrogé par Bild am Sonntag en compagnie de Carlos Tavares, a répondu: “Opel doit être et sera rentable.”
Opel, en perte constante depuis 16 ans, a creusé ses pertes au deuxième trimestre, à environ 250 millions de dollars (210,8 millions d‘euros), a rapporté début septembre l‘hebdomadaire spécialisé Automobilwoche.
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