Transfert du blog

Bonjour à tous,

A compter d'aujourd'hui, le blog est fermé et remplacé par le site Passionnément Citroën.

Vous serez automatiquement redirigé vers le nouveau site.

Merci de votre compréhension

Pourquoi le Citroën C4 Cactus s'est mue en berline



On ne dit plus le crossover C4 Cactus mais la berline C4 Cactus, histoire de donner de l'air au C3 Aircross, le véritable petit crossover des familles. Malgré ses amortisseurs à butées hydrauliques, la plateforme de citadine continue à trop transparaître pour égaler une compacte, telle que la Peugeot 308…

Drôle de destin que celui du Citroën C4 Cactus. Un peu comme si jamais personne n'avait compris de quel type d'auto il s'agissait. Sachant que son C3 Aircross n'allait pas remplacer le C3 Picasso avant 2017, le constructeur aux Chevrons a grimé le C4 Cactus en baroudeur pour l'envoyer dans les pattes du Renault Captur dès 2014. Avec un succès mitigé : sur toute sa carrière, l'auto s'est vendue à 270.000 exemplaires, alors que le Losange à écoulé 232.000 Captur sur la seule année 2017. Maintenant que le C3 Aircross plus spacieux et modulable est sorti, il faut habiller autrement la C4 Cactus.

Une nouvelle fois, ce modèle sert à combler un vide dans la gamme. La berline C4 lancée en 2010 étant arrivée à bout de course (elle ne sera pas remplacée avant 2021), la C4 Cactus est chargée du lui succéder. Du registre du crossover, elle passe donc à celui de la berline. Une raison suffisante pour dire la C4 Cactus plutôt que le C4 Cactus.

Officiellement donc, le modèle devient en effet une berline compacte. Par définition, elle entend donc frayer avec les Volkswagen Golf, Peugeot 308 et Renault Mégane. Pour autant, la longueur n'évolue pas et stagne à 4,17 m. Soit 8 cm de moins que la 308, déjà une des plus courtes de la catégorie.


Un dessin plus sage pour la Citroën C4 Cactus
Pour séduire la clientèle conservatrice de l'ancienne Citroën C4, la C4 Cactus s'assagit esthétiquement. Près de 90 % des éléments de carrosserie sont nouveaux.

Exit la face avant lisse et les Airbumps, ces larges protections latérales en plastique qui faisaient jusqu'ici tout le caractère de l'auto. Celles-ci migrent en bas de caisse pour plus de discrétion. Les barres de toit sont désormais optionnelles (contre 200 €), afin d'abaisser visuellement l'auto. La C4 Cactus conserve néanmoins sa garde au sol élevée, de 155 mm. Les chromes gagnent en ampleur à l'avant et les feux arrière horizontaux servent à élargir visuellement l'auto. Parce qu'une berline se doit d'être plus basse qu'un SUV.

Pour autant, il ne suffisait pas de lisser les volumes pour transformer la C4 Cactus en berline plus statutaire et la raccrocher au segment supérieur. Citroën l'a bien compris et dégaine pour cela un nouveau type de suspension, à même de renouer avec le confort des modèles d'antan. De série, la C4 Cactus restylée adopte de nouveaux amortisseurs à butée hydraulique progressive, qui nous avaient été présentés par la marque il y a un peu moins de deux ans.

Ces éléments, fournis par KYB mais de brevet Citroën, peuvent être grossièrement résumés à la juxtaposition de trois amortisseurs. Le principal, de faible résistance, assure un maximum de souplesse sur les petites irrégularités de la route (15 mm en compression, 40 mm en détente). Son réglage est plus lâche que celui d'une C3, déjà réputée pour sa souplesse. Et les deux butées sont remplacées par de petits amortisseurs dans l'amortisseur, de plus en plus fermes à mesure de l'enfoncement de la roue, grâce à des canaux d'huile obturés par le déplacement du piston. Résultat : le butées finales sont atteintes en douceur, et uniquement sur les gros chocs.


Les amortisseurs à butées hydrauliques progressives boivent l'obstacle
Sur les routes très dégradées du Lubéron où nous avons réalisé notre essai, le dispositif s'est révélé des plus concluants. Les petites irrégularités apparaissent parfaitement filtrées, avec un mouvement légèrement chaloupé typique de la marque. Il faut dire que les ingénieurs ont choisi une fréquence de pompage plutôt basse (1,15 Hz à l'avant et 1,25 Hz à l'arrière), pour arriver au typage voulu. C'est surtout sur les gros ralentisseurs que le résultat s'avère bluffant : ces obstacles sont avalés de manière parfaitement progressive, sans secouer les passagers, à moins d'arriver sur la butée classique. Mais il faut alors que la compression soit supérieure à 50 mm. Impressionnant !

Reste que si le filtrage s'avère excellent, il convient d'apporter un bémol avant de décerner à la C4 Cactus le titre de compacte la plus confortable. Citroën l'a bien compris et le répète en mettant en avant son label Citroën Advanced Comfort : le confort est une notion globale qui ne se résume pas à une suspension souple.

Et c'est là que le bât blesse : la plateforme PF1, née il y a vingt ans avec la Peugeot 206, avoue aujourd'hui son âge. Nous avons ainsi noté de nombreuses résonances sonores dans la caisse et des remontées de vibrations dans la direction, en particulier en virages, sur revêtement dégradé.

Nicolas Berlinger, responsable du développement châssis de cette C4 Cactus nous livre un début d'explication. "En virage, le roulis fait que vous atteignez la butée de compression sur les roues en appui. Pour assurer le maintien de caisse, nous profitons de cette loi d'amortissement progressive, en faveur du comportement routier. Vous êtes alors à un niveau d'enfoncement qui correspond à un réglage plus ferme que la majorité des modèles, ce qui peut être la raison de ces remontées".


Des amortisseurs trop bons pour le châssis
Il n'empêche que ce phénomène était absent sur le prototype essayé il y a deux ans, dont la structure était renforcée par collage des éléments de carrosserie. Par conséquent, il nous semble que la plateforme insuffisamment rigide de la C4 Cactus ne lui permet pas de tirer le plein parti de ses excellents amortisseurs. Il faudra sans doute attendre le C5 Aircross, — qui mêle les amortisseurs à butées hydrauliques progressives et la plateforme EMP2 nettement plus à la page — pour voir une Citroën se placer au-dessus du lot.

La C4 Cactus n'en offre pas moins un compromis entre confort et comportement routier de très bon niveau. Mais en choisissant de boxer dans la catégorie supérieure, elle se heurte à des rivales de taille, la Peugeot 308 en tête.

Légère et sainement équilibrée, la C4 Cactus tient la route avec efficacité. Et elle gagne même en précision grâce à une direction à l'assistance revue, alors que les ingénieurs ont conservé les mêmes barres antiroulis et les mêmes cales élastiques, jugées satisfaisantes.

Mais son train avant avoue ses limites. Le sous-virage apparaît légèrement plus tôt que certaines concurrentes, ce qui n'a guère d'importance, étant donné que cela est sensible à des vitesses guère en ligne avec le tempérament de l'acheteur moyen de ce type d'auto. Mais il semble plus dérangeant de ressentir des tiraillements dans la direction à l'accélération, avec un moteur de seulement 110 ch. Voilà qui trouble la sérénité de ce que Citroën aime à présenter comme un tapis volant.

Légère et vive
Notons qu'avec sa légèreté (1.045 kg en version 130 ch), la C4 Cactus n'a aucun mal à s'accommoder des petits trois-cylindres turbo qu'il nous a été donné d'essayer, et qui représenteront la majorité des ventes. Le 1.2 Pure Tech de 130 ch se révèle vif et vigoureux, et plutôt sobre (7,2 l/100 km au cours d'un parcours assez vallonné mêlant route et autoroute). Nous avons également pris en mains une version 110 ch, associé à la boîte automatique à six rapports signée Aisin. Correctement gérée, celle-ci étouffe toutefois les reprises de l'auto et se révèle un peu brutale en mode Sport.

Selon Citroën, la C4 Cactus a également soigné son insonorisation, notamment par un calfeutrage des dessous et du tablier. Le progrès est manifeste par rapport à l'ancienne mouture, avec un bel équilibre entre bruits aérodynamiques, de roulement et moteur. Mais en valeur absolue, on n'atteint pas le niveau des Volkswagen Golf et Opel Astra, références en termes de silence. L'ouverture de la porte en révèle la raison : on ne trouve que deux joints et trois points de contacts avec la tôle, contre trois joints et quatre points de contact sur les deux rivales précitées. Pourtant, il s'agit là d'une pièce spécifiquement retravaillée par Citroën.

A l'ouverture de la porte, on remarque le dessin des nouveaux sièges, dont la partie centrale rappelle celle des premières CX GTi. A cette évocation, les yeux de Pierre-Yves Couineau, chef de produit C4 Cactus, se mettent à pétiller. "C'est clairement notre inspiration. La CX, comme d'ailleurs la BX, sont des modèles injustement oubliés, qui ont pourtant rencontré un vrai succès commercial. Elles symbolisent l'image du confort que l'on veut apporter à nos voitures aujourd'hui". Ces nouveaux sièges optionnels (à partir de 350 €) mêlent une mousse ferme dans leur cœur et une mousse souple en surface pour combiner douceur et maintien. L'effet est très agréable avec les sièges en tissu, un peu moins probant avec ceux en cuir. Dans tous les cas, les dossiers manquent de maintien dans les virages.


Un intérieur un peu étroit par rapport aux concurrentes
Comme le reste des nouveautés de cette C4 Cactus ces sièges dénommés Advanced Comfort contribuent à renforcer la singularité d'une auto, qui perd par ailleurs certains de ses traits de caractère. Il en est ainsi de la banquette avant, disparue depuis un peu plus d'un an. "Lorsque nous avons remplacé la boîte pilotée ETG6 par la nouvelle boîte automatique EAT6, il fallait redessiner une commande", explique Pierre-Yves Couineau. "La tâche était plus complexe qu'un simple changement de faisceau. J'ai donc demandé à avoir cette console centrale horizontale, au style plus automobile. Cela permet de diminuer la diversité industrielle et la banquette pouvait être perçue comme trop plate par les clients".

A l'intérieur, l'ambiance est toujours très particulière, mêlant des plastiques durs à des matériaux plus nobles. Associée à une largeur assez faible (1,71 m, soit 9 cm de moins qu'une Peugeot 308), cet environnement hétéroclite ne contribue pas à se sentir à bord d'une concurrente des Golf et 308. De même, l'habitabilité arrière est moyenne et le coffre de 358 litres rend 62 litres à la Peugeot. Sans compter que la modularité demeure très quelconque, avec une simple banquette rabattable qui ne forme pas plancher plat et qui coince les ceintures de sécurité quand on en relève les dossiers

Manifestement plus raffinée qu'aupravant, la Citroën C4 Cactus n'a donc pas placé la barre assez haut pour se frotter au gratin de la nouvelle concurrence qu'elle vise. Mais elle se révèle aussi moins chère : 23.450 € pour la finition haut-de-gamme Shine dotée du trois-cylindres essence de 130 ch. A équipement équivalent, une Peugeot 308 réclame 3.000 € de plus. Voilà qui donne à réfléchir. Sur le segment, on pourrait trouver que la Fiat Tipo est la plus proche dans la philosophie. Cette dernière est aussi moins chère de 3.500 € environ mais moins confortable. Et au sein même de la gamme Citroën, le C3 Aircross est proposé au même tarif à équipement équivalent.

L'erreur vient peut-être de vouloir mettre la C4 Cactus dans une case. A mi-chemin entre citadine et compacte, cette Citroën offre un rapport prix/équipement correct, un confort de haut vol et une originalité certaine. En somme, c'est une vraie Citroën.

Voilà sans doute pourquoi le constructeur refuse de parler d'échec, malgré des ventes timides jusqu'ici et un objectif raisonnable (90.000 unités annuelles prévues, contre 80.000 pour l'actuelle version). Car il est une donnée qui vaut de l'or pour un service marketing : la C4 Cactus est le modèle de la marque qui a la plus forte notoriété, et qui a inauguré le style aujourd'hui porté par toutes les dernières Citroën. De quoi encourager le constructeur à se recentrer sur les fondamentaux de confort et d'originalité qui ont fait son histoire.

La version d'entrée de gamme bientôt condamnée
Comme auparavant, la nouvelle Citroën C4 Cactus est disponible en version d'entrée de gamme avec le trois-cylindres essence atmosphérique 1.2 Pure Tech de 82 ch. Cette déclinaison qui fait baisser le tarif d'accès à 16.950 € ne dispose toutefois pas des amortisseurs à butées hydrauliques. La raison concerne la disparition prochaine de ce moteur. En effet, Citroën a décidé de ne pas reconduire ce bloc qui devra être modifié pour le passage à la norme Euro 6c. Le montage des nouveaux amortisseurs imposant un recalibrage complet des réglages du châssis, le constructeur a préféré conserver l'ancien réglage pour seulement quelques mois de carrière. Pour faire monter en gamme la C4 Cactus, seules les versions turbo seront proposées à terme.

Source : 

Commentaires

  1. Personnellement je reste convaincu que si la C4 cactus avait eu dés le départ un équipement tel qu'il est sur le future C4 cactus (boite auto incluse) elle aurait cartonné un peu plus
    Sur les Citroën qui on suivie, Citroën a corrigé sa vision essentielle ils ont gardé le style mais la technologie est maintenant à la pointe des segments et on voit le résultat.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et moi je reste convaincu qu'en optionnalisant un truc sur les flancs que certaines stars à l'ADN trouvait essentiel on aurait donné une carrière internationale à ce produit et sacrément aidé la marque.
      L'erreur n'a pas été reproduite sur C3 et le mix (40%/60%) tend à prouver que Citroen avait au départ une base bien plus large dans le secteur en plein boom au lancement de ce modèle.

      Je trouve d'ailleurs l'article intéressant : chez Citroen, vendre 2.5/3.0 fois moins de Cactus que de Captur/2008 par an n'est pas vécu comme un échec puisque la voiture est iconique et citée comme exemple dans un panel à l'aveugle.
      Et si ce constat est partagé par C.T., c'est que vraiment tout va bien pour PSA.

      Mais on aurait pu, avec moins de suffisance, faire nettement mieux !

      Citroen reste pourtant par sa personnalisation possible une marque avec un énorme potentiel : le bi-ton, les airbumps, les matériaux utilisés pour l'intérieur...
      Mais au lancement d'un produit, il ne faut pas être dogmatique. Ou pas pour des trucs aussi clivants que furent les airbumps 1.

      Supprimer
  2. Je pense qu’en matière de commerce il faut toujours proposer une certaine liberté, l’acheteur ne se sent pas enfermé, il est grand garçon, il décide, entre 2 propositions, oui mais chez le même commerçant.
    Pour en revenir au lancement du C4 Cactus, proposer un véhicule dépourvu des équipements auquel le public est habitué , avec un tarif qui ne prends pas en compte, dans son esprit, ce manque . A t il demandé un air bag plafond ? Mais il n’a pas obtenu une banquette AR fractionnée ?
    Le style du Cactus lui plaisait, mais il aurait bien voulu se défaire des Airbumps, c’etait à prendre ou à laisser, dommage que beaucoup n’est pas pris.
    Perso je trouve que la nouvelle face AV forge une identité, C3 et Aircross, C4 Cactus, C4 Picasso, nouveau Berlingo.

    RépondreSupprimer
  3. Assez d'accord avec vous, loupé il y a bien évidement... mais il n'est pour autant pas sans intérêt ou leçon a tirer...et la marque a probablement tiré des leçons aujourd'hui visible mais à mon sens, plus encore demain....
    Les résultats de la nouvelle mouture seront encore plus intéressant car il s'agit à mes yeux du retours d'âme de la marque ... en effet, la recherche d'allègement a été un axe de recherche de longue date, jusqu'à la BX qui fut pourtant une réussite incontestable, tant en terme de vente qu'en terme d'expérience client. cette recherche du poids le meilleur en rapport aux prestations avait donné entre autre des voitures trés dynamiques rapporté à la puissance installée....mais un peu imparfaite quand à l'insonorisation, et et une certaine qualité perçue....
    Ces qualités sont devenue des défauts majeurs .... pourquoi...??? premièrement, le marché à évolué et la consommation est devenue moins importante du fait de la baisse du pétrole, deuxièmement, une comm infernale à été orchestrée par une certaine presse (qui était derrière???) pour laquelle un claquement mat de la portière, l'enfoncement du doigt dans le plastique du tableau de bord ou la présence d'un poste radio en série, avait beaucoup plus d'importance que le confort global, le bilan performance/consommation, le rapport prix équipement ou un garagiste sérieux à proximité.....
    Cette comm infernale à de toute évidence servi exclusivement les constructeurs teutons.... et le citoyen concon a préféré acheter un char d'assaut de 1,6 tonne sous motorisé, avec essieux rigide et suspension en bois, plutôt que des véhicules certes imparfaits, mais ayant des caractéristiques en phase avec une automobile moderne....

    Cette évolution du marché à fragilisé nos constructeurs, qui ont fini par perdre pied .... avec l'histoire que nous connaissons tous....et l'avènement de générations de voitures de plus en plus lourdes, de plus en plus équipées de choses d'une utilité trés contestable...

    Le concept cactus pourrait être le début du retour de gamme de voitures plus travaillées pour être plus légères....une prochaine C4 un peu plus courte que la moyenne de la catégorie, plus légère, trés confortable, avec des perfs suffisantes même avec de petits moteurs, et un peu moins chère que le marché moyen, permettrai à des clients qui ne sont pas forcement en recherche d'un statut social ou d'une pseudo image de perfection affichée, d'acheter des voitures en phase avec leurs souhaits, et plus en phase avec le besoin d'écologie réaliste de notre société.....
    plus léger, moins énergivore, moins cher, sans tomber dans les délires des millions de tonnes de batteries hautes technologies non recyclables.... bref les délires que nos écolos-politocards sont en train de nous imposer insidieusement, sans en mesurer la portée à long terme....
    Pour une fois Citron serait en phase avec l'évolution du marché...; et aurait la chance d'anticiper les attentes des citoyens moyens...

    RépondreSupprimer
  4. c'est sur que pour l'électrique je ne comprend pas elle n'a aucun bénéfice CO² de plus en plus d'étude le prouve et celui qui me dira que le pétrole n'est pas éternel je lui répondrais que les terres rares qui composent les batteries le sont encore moins

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Avec un moteur thermique on pollue dès que l’on circule.
      Avec un moteur électrique on n’a plus de pollution de circulation, par contre la production d’électricité va en générer !
      Sauf le nucléaire bien sûr, mais la, 2 soucis majeurs
      - 1 le risque
      - 2 le retraitement des déchets
      Pour le 1 il y a eu qq antécédents et nous ne sommes pas à l’abri d’un accident majeur.
      Pour le 2 on ne sais pas encore faire, saura t on un jour ?
      On ne sais toujours pas recycler le lithium àun coût économiquement supportable.
      Quand on voit le nombre de centrales à charbon qui sortent de terre, en Chine,le gouvernement Chinois veut un % d’électriques coquet et cela demain donc avec les véhicules électriques on ne polluera plus en roulant, on aura déplacé et créer une autre forme de pollution.
      Détail qui va financer l’investissement des bornes, à votre sourire je vois que vous avez saisi.

      Supprimer

Enregistrer un commentaire