Comment envisagez-vous l’année 2018 ?Au niveau du groupe, nos prévisions pour cette année sont stables. Notre objectif est de réaliser une progression de 5 % de part de marché en Europe. C’est ambitieux mais réaliste. Nous prévoyons une croissance de 4 % en Amérique latine, 10 % en Russie, et 2 % en Chine.
Vous souhaitez atteindre les 1,6 million d’unités dans le monde en 2020. Comment comptez-vous y arriver ?Pour parvenir à cet objectif, nous allons développer et renforcer trois points : lancer de nouveaux modèles à travers diverses zones géographiques, devenir plus international, et évidemment redresser le marché chinois, qui a impacté nos résultats de 2017.
Quels moyens allez-vous mettre en œuvre pour améliorer votre position en Chine ?Concernant ce point, l’élévation de la Chine va être possible par un développement du marché des SUV qui explose, grâce notamment au C3 Aircross, une restructuration du réseau mais également un aménagement du stock. Cela va prendre un peu de temps pour obtenir une situation saine, mais j’espère que ce point sera réglé d’ici à la fin de l’année 2019. Pour pallier à cette baisse du secteur chinois, nous misons également sur de nouveaux marchés comme l’Iran qui représenterait un volume 150 000 véhicules par an.
Comment appréhendez-vous la fermeture de certaines villes au diesel ?En tant que constructeur, nous sommes prêts. Toutefois, ce sont nos clients qui guident les tendances et ont le dernier mot. D’ici à 2023, 80 % de nos modèles seront électriques. En 2025, 100 % le seront.
Source :
Renault devait avoir en 2012 100% de véhicules électriques
RépondreSupprimerJe n'y ai jamais cru et j'avais raison après la zoé qui sans être un fiasco n'est pas non plus un best seler, renault n'a pas continué sur sa lancée
On verra ce qu'il en sera pour PSA
Si on ne peut pas partir en vacance en 1 journée et recharger sa voiture facilement une fois sur place on ne réfléchit pas longtemps pour écarter l’électrique!
On peut penser que tout, ou presque, va se jouer sur les infrastructures qui permettront, ou pas, de faire désormais des compléments de charge « rapides »
SupprimerAvec les progres constants des batteries mais aussi des groupes propulseurs, on peut imaginer qu'un jour on verra des véhicules offrir une autonomie de 1.000km... Voire 2.000 ou plus, qui sait. Cela contribuera aussi a rendre l'électrique plus viable pour le consommateur moyen. Le jour ou tu peux faire une journée de voiture sans recharger, le temps de recharge ne sera plus un probleme!
SupprimerBalaise de travailler avec les politiques. Tu tapes dans la main de Hollande et de Royal pour aller vers la voiture thermique à 2 litres au 100 en 2014 pour te faire blacklister par Hidalgo et les maires des plus grandes villes du monde sur une technologie largement supportée fiscalement.
RépondreSupprimerReste à voir à un moment comment toute cette petite basse-cour pilotera la baisse des recettes de la TICPE et ces 15 milliards en France de taxes perçues.
Si LINDA JACKSON affiche son sourire permanent quelque soit la nouvelle qu'on lui donne, l'irritation de Carlos TAVARES à la moindre évocation du sujet "diesel-gate" est nettement plus palpable. Et pas sans raison...
Il ne faut pas rêver... les taxes sur l'électricité de roulage ne vont pas tarder....et là on va voir la gueule des "précurseurs"...
RépondreSupprimerPuis il risque aussi d'y avoir un montée du prix des batteries avec les nouvelles technologies, et la raréfaction des matières pointues....
l'électrique reste un produit de riche... une fois de plus généreusement subventionnée par nous autres...