L'usine a repris "normalement" sa production à son usine de Vigo durant les quarts de travail hier et après-midi. Cependant, la direction de l'entreprise a choisi de réduire le poste de nuit jusqu'à mercredi en raison de la saturation de l'usine de Valenciennes, responsable de la fabrication des boîtes de vitesse pour le groupe. De cette façon, le décalage sera développé pendant cinq heures ces trois jours, ce qui est estimé à une perte de production d'environ 450 véhicules.
L'Usine de Vigo est affectée par des manques de pièces depuis depuis jeudi dernier dans une situation que les syndicats ont décrit comme « extraordinaire » mais d'autres usines sont touchées telles que Villaverde (Madrid) et Mangualde (Portugal) pour ses volumes de production élevés. Entre jeudi, vendredi, samedi et dimanche, on estime qu'il y a eu une réduction de la production de 3 300 unités.
La direction a rapporté hier que le groupe "tente de résoudre" la situation. "En ce moment, nous devons voir comment cela évolue", ont-ils déclaré hier. Pendant ce temps, l'usine a opté pour cette réduction, ce qui signifie que les travailleurs qui sont entrés hier à 22 heures sont partis tôt ce mardi à trois heures. Ce sera jusqu'à mercredi, bien que les syndicats insistent pour ajouter à cette expression un "au moins". Et les travailleurs craignent que la situation "empire" si le problème n'est pas résolu en France
Ces tensions avec des composants de réception coïncident avec la fin de vie des anciens modèles Berlingo et Partner (projet B9) et le lancement de la nouvelle génération (le projet K9). A cela s'ajoute une aggravation du manque d'espace pour le stock de véhicules à Bouzas (allégé le week-end par l'arrivée de trois navires Ro-Ro). Dans ce dernier cas, l'option d'avoir plus de terres est en cours d'évaluation, pour laquelle le Port a offert à l'entreprise les zones d'Aucosa et de Duchess.
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