En tant que PDG de la nouvelle unité nord-américaine du constructeur automobile français, Larry Dominique dit qu'il «regarde et que les gens pensent différemment, pensent nouveau».
Pour une rentrée prévue dans le marché automobile nord-américain, Larry Dominique dit que son patron, Carlos Tavares, chef du groupe automobile français PSA, lui a dit: "Ne vous laissez pas embourber par le conservatisme traditionnel de l'industrie."
Cela inclut les revendeurs potentiels, dit-il ici lors de la Conférence sur l'expérience client automobile des Sommets des leaders d'opinion 2018.
Je ne peux pas vous dire combien de personnes me questionne sur:« Combien de concessionnaires aurez-vous et quels véhicules apporterez-vous? », explique Dominique.
Il ne répond pas pour le moment. Son rôle consiste à développer les affaires nord-américaines en tant que terrain vierge, ce qui comprend les ventes, la distribution, la mobilité, le financement, les pièces, le service après-vente et les services connexes.
Peugeot a cessé de vendre des voitures aux États-Unis en 1992 après des années de ventes anémiques. Pourtant, il est l'un des principaux constructeurs automobiles d'Europe.
Le retour de PSA en Amérique du Nord a commencé avec un service d'autopartage, Free2Move. Il est opérationnel, peer-to-peer et n'inclut pas actuellement les produits PSA. Finalement, PSA prévoit de reprendre la vente au détail de ses produits en Amérique du Nord, explique Dominique, un vétéran de l'industrie dont la carrière comprend des séjours chez General Motors, Nissan, TrueCar et le résidant ALG.
Il reste ouvert d'esprit de diverses manières. Par exemple, il dit: «Nous ne parions pas beaucoup sur une seule technologie ou un seul service". Il envisage l'accès à la mobilité à partir d'une seule application, si quelqu'un a besoin de transport pour une heure, un jour, un mois ou une année. "Ce peut être des vélos ou des voitures."
Les constructeurs automobiles ont tendance à acheter ou acquérir des participations et ensuite essayer de les dominer. "Nous pensons que nous savons mieux," dit Dominique. PSA veut s'associer avec des entrepreneurs créatifs et apprendre d'eux, pas les diriger, dit-il. "Laissez-les partir avec ça."
Il soutient que certains modèles de concession doivent changer. "Les concessionnaires énormes avec de grands stocks seront insoutenables" dans les années à venir.
Il appelle à développer "de nouvelles relations de travail entre équipementiers et concessionnaires. C'est ce que nous regardons. Il n'y a pas assez de synergie entre les constructeurs et les concessionnaires. Cela doit changer. Il s'agit d'améliorer la marque et l'expérience client. PSA parie sur une nouvelle expérience client incroyable, numérique et autre. L'expérience client doit être primordiale dans toutes les parties de l'entreprise. "
Bien que de nombreux concessionnaires américains changent avec le temps, beaucoup ne le sont pas, dit-il. "Chaque département de concession doit gagner de l'argent et tout doit être vendu à but lucratif », sinon, il y a une forte décote et une trop grande dépendance des autres départements. Vous voyez un mauvais comportement. "
Le chef de PSA, Tavares, a également déclaré à Dominique que sa mission à multiples facettes n'est pas un travail d'urgence.
"Carlos dit que c'est un voyage de 50 ans", dit Dominique. "Il entre dans le marché nord-américain et ne sort plus jamais".
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